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Actuellement, près de 8 % des Français ne peuvent pas consulter plus de deux fois par an un médecin faute d’en avoir un à proximité : on parle alors de région sous-dense en praticiens.
La répartition de ces déserts médicaux est inégalement répartie au sein du territoire ; certaines régions comptent moins de 5 médecins pour 10.000 habitants alors que d’autres en recensent plus de 30. Les régions les plus touchées sont sans surprise les campagnes et les montagnes, mais des régions d’Île-de-France telles que le Val d’Oise ou les Yvelines sont également frappées par ce phénomène touchant près de deux millions d’habitants. Au total, c’est une ville sur 3 qui subit le manque de médecins, soit plus de 11.000 communes.
La cause principale directe est la diminution de moitié du numerus clausus corrélée à une forte augmentation de départs de praticiens à la retraite. En sortie d’études, les médecins choisissent d’exercer en majeure partie comme salariés. On observe donc une baisse du nombre de libéraux et, de surcroît, une inégale répartition géographique.
Pour faire face à ce manque d’offre médicale, différentes stratégies ont été mises en place ; financière, fiscale puis humains.
En 2009, a été créé le contrat d’Engagement du Service Public (CESP). C’est une mesure concernant les futurs médecins encore étudiants. Dès leur première année de médecine validée, les étudiants qui le souhaitent peuvent percevoir une rémunération mensuelle forfaitaire de 1200 euros jusqu’à la fin de leurs études. En contrepartie, ils s’engagent à exercer au sein de ces zones sous-dotées une fois diplômés pendant un nombre d’années proportionnel à la durée de versement des allocations. En outre, ils bénéficient d’un accompagnement individualisé et d’un soutien au moment de leur installation.
D’autres aides de nature fiscale viennent compléter ce dispositif :
De son côté, l’Agence Régionale de Santé (ARS) offre différents statuts avantageux aux jeunes médecins généralistes non encore installés ou installés depuis moins de un an dans ces zones géographiques :
Puis la Caisse Nationale d’Assurance Maladie (CNAM) a refondu ses contrats conventionnels dans la Convention Médicale 2016 avec la mise en place de 4 nouveaux contrats incitatifs à l’installation dans ces déserts médicaux :
Enfin, récemment en 2021, une solution à long terme a été prise d’avoir supprimé le numerus clausus des médecins et d’avoir augmenté le nombre de consultations à nombre de médecins inchangés (via la création de postes d’assistants médicaux).
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